Thème: le prince  charmant irréel.

L'attente de toutes les jeunes japonaises: un espoir forcément déçu.

 

 

 

 

 

 

 

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ANTHONY

Bien avant Candeloro, c'est Anthony qui a fait rêver l'adolescente japonaise. Une mièvrerie même pas forcée lui ouvre la voie pour séduire la petite Candy, pourtant bien jeune à l'époque. Mais cette icône parfaite ne résiste pas au réalisme nippon: le gaillard, accessoirement cow-boy à ses heures, ne résiste pas à un rodéo imprévu. Il se tue à cheval, mais  uniquement parce qu'il n'avait pas de voiture à l'époque. 

 

Son histoire

Candy rencontre Anthony sur une colline alors qu'il est habillé avec cet accoutrement ridicule. Un coup de biniou et c'est dans la poche, elle tombe. Fortiche, même pour l'époque. Essayez de faire pareil pour voir...

Le médaillon, dont le graphisme rappelle un symbole militaire pour le moins troublant, laissé certainement intentionnellement par Anthony pour lui permettre  de se rappeler au bon souvenir de Candy.  Une tactique qui paye.

Une ou deux ballade à cheval pour terminer le travail et Candy succombe au charme du prince jockey. 

 

Un jockey maladroit puisque lors d'une banale ballade, il tombe et se casse le cou. L'histoire se termine mal, comme si tous les rêves promis ne pouvaient jamais aboutir. Une tragique transcription de l'état d'esprit nippon d'après guerre.

 

Visiblement consternée par le drame, Candy pleurera longtemps, mais se consolera vite: même un prince charmant n'est pas indispensable, et puis il y en a certainement d'autres qui traînent dans les environs.

 
 
 
 
 
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